Christophe CORNU , Master au L2A53 est allé au bout de l’ULTRA TRAIL des Avaloirs …

Christophe CORNU , Master passionné au L2A53/SLA, entrâiné par Patrice BOUDESSEUL et Didier BERNARD a parcouru les 110km de l’Ultra Trail des avaloirs en 17h03’05 …

Christophe nous raconte son expérience :

« Dans les chemins étroits du début de course, j’étais dans un petit groupe, tous l’un derrière l’autre, donc bonne visibilité sur les pierres et racines.

Tout s’est bien passé jusqu’au milieu de course, voire jusqu’au ravito du 63ème, avec de bonnes sensations.

Par contre, la marche, même rapide, ça passait (9-10mn/km). Alors j’ai beaucoup marché sur les 40 derniers km. Dans les côtes, depuis le début, j’avais pris l’option marche. Sur la 2ème moitié de parcours, les genoux ont donné des signes de faiblesse!  Progressivement, je ne pouvais plus courir dans les chemins accidentés et rocailleux en descente, puis, sur la plat caillouteux, ça ne le faisait plus non plus … et ensuite ça coinçait aussi sur chemin type halage ou sur bitume en descente. Sur les 15-20 derniers km, il n’y avait que sur le plat sans cailloux que je pouvais trottiner. Le terrain dur avec les chaussures de trail ont trop tapé dans les genoux.

Bilan, intérieur du genoux droit et mollet droit enflé dimanche matin, c’était un peu mieux le lendemain !

Quelques statistiques sur la course :

83 inscrits, à priori 73 partants, 57 arrivés, donc pas mal d’abandons ... 

Mon classement aux différents pointages :

Km 32, 53ème, 3:37:09

Km 67, 40ème, 8:23:20

Km 79, 43ème, 10:41:08

Km 93, 38ème, 13:26:38

Km 103.5, 43ème, 15:21:14

Km 110, 46ème, 17:03:5

Sur les 17 derniers km, je me suis fait doubler par 8 coureurs  …Je suis très content d’être allé jusqu’au bout de la course. Mais un peu frustré car musculairement ça allait, pas de sensation d’être arrivé au bout du rouleau.17H de course, c’est long, parfois interminables quand les passages difficiles s’enchaînent alors que l’on attend avec impatience le jalon du ravito suivant, souvent esseulés aussi sur le parcours, heureusement sur la 2ème partie, on se faisait doubler par les 52km qui encourageaient au passage , et puis on était encouragé par les bénévoles aux croisées de chemins et par les supporters aux ravitos. Sans doute que j’arrive aux limites de ce que je peux faire sur du trail long sur terrain accidenté. Cet ultra Trail Les Avaloirs s’avère être un beau parcours. » 

Une bande de joyeux lurons du groupe Loisirs du L2A53/SLA en stage de réathlétisation au … MARATHON du Médoc !!!!

Ils se sont élancés dès 9HOO ce samedi matin bien loin des quelques vignobles mayennais pour affronter le terrible MARATHON du Médoc cette année sur le thème de la MER ou seule une préparation athlétique n’est jamais suffisante en ces temps de rentrée ! Réputé pour être le plus long marathon du monde , les Runners qui ne l’ont jamais pratiqués au CLUB se demandent encore pourquoi ???? Bonne escapade athlétique et oenologique à cette équipe composée de Séverine, Maria, Virginie, Talie, Yannick, Jérôme et leurs amis de passage sous l’oeil averti de COACH BRUNO qui s’est préparé comme jamais sur ce marathon mythique et sûrement l’un des plus , si ce n’est le plus festif de FRANCE et ce ne sont pas mes amis Didier B et L , Christian B , Yves M et bien d’autres stadistes ou ex stadistes bien connus qui me contrediront !!!!!

TCHIN, TCHIN BRUNO du côté de Beychevelle me semble t’il et attention aux crampes au 40ème lorsque tu devras déguster des huitres ou un morceau d’entrecôte arrosé !!!!!!

De Surprise en Surprise : Deux Années de Progression vues par Laurine BEUCHER

De Surprise en Surprise : Deux Années de Progression vues par Laurine BEUCHER

J’ai eu l’occasion de discuter avec Laurine, qui a connu une progression spectaculaire sur ces deux dernières saisons. Entre changement d’entraîneur, expérience à l’étranger et premiers championnats de France, Laurine revient pour nous sur un parcours qui a dépassé toutes ses attentes. Un témoignage inspirant sur la performance et la découverte de soi.

Bonjour Laurine ! Merci de prendre le temps de discuter avec moi. Si tu devais résumer ton incroyable parcours de ces deux dernières années en un seul mot, quel serait-il et pourquoi ?

Je dirais que le mot qui résumerait le parcours réalisé, c’est : Surprise. Depuis l’année dernière, c’est de surprise en surprise que les chronos descendent. Bien sûr, ça alimente une envie de toujours plus et c’est un moteur dans la recherche du meilleur.

Ce qui semble marquer le début de cette nouvelle phase, c’est un changement dans ton approche et ton encadrement. Peux-tu nous parler de cette transition ?

Oui, après quelques pépins physiques il y a 2 ans, un relais s’est fait dans l’encadrement des séances avec Didier. qui m’a pris sous son aile. Auparavant, j’étais entraînée par Josiane. ; je n’avais pas la même recherche, c’était de l’athlétisme « plaisir » comme on l’aime, avec un bon groupe pour pimenter tout ça. Il y a 2 ans, j’ai commencé à vouloir m’entraîner davantage avec un regard plus tourné vers la compétition. C’est là que le passage de flambeau a été réalisé et que Didier a pris le relais des séances.

Ce changement de coach a coïncidé avec un autre grand défi : un départ aux Pays-Bas pour tes études. Comment as-tu géré l’entraînement à distance et qu’est-ce que cette expérience t’a appris ?

L’ année aux Pays-Bas m’aura beaucoup appris sur moi-même, j’ai pu observer aussi une réelle progression à ce moment-là. C’est vrai que l’entraînement seule n’était pas facile mais c’est ce qui apprends à mieux se connaître, et j’étais très bien accompagnée par Noé !

Et les résultats ont suivi ! Dès ton retour en France, tu as participé à tes premiers championnats de France sur piste. Raconte-nous cette première grande expérience.

C’est ça, c’est en revenant des Pays-Bas que j’ai participé à mes premiers championnats de France sur piste, les « France Espoirs » à Albi, alors que j’étais espoir 2ème année. L’objectif principal était de prendre une première expérience en championnat et d’essayer d’aller chercher la qualification en finale.

Objectif atteint, puisque tu as décroché ton billet pour la finale ! Dans quel état d’esprit as-tu abordé cette dernière course ?

Ce fut une vraie joie d’avoir validé ce ticket ! Pour la finale le lendemain, je me rappelle encore des mots de mon coach Didier : « Ta saison est déjà pleinement réussie, tu n’as rien à perdre ». Il a aussi glissé un petit mot pour évoquer la place de finaliste que je pouvais aller chercher. C’était la meilleure façon d’aborder la course : sans pression, mais avec ambition.

Pour nous qui étions spectateur, quelle première finale et de plus tu prends une belle 7eme place de finaliste.
7eme et finaliste des Frances à Albi et c’était une très grande joie, partagée avec Didier, Anne et les membres du L2A53 présents 🫶🏻

Après cette première année réussie et ton expérience à l’étranger, tu as pu réintégrer pleinement ton groupe d’entraînement. On sent que cette dimension collective a été un vrai moteur pour toi cette saison…

Oui, complètement ! Après cette année bien enrichissante, j’ai pu rejoindre à temps complet le groupe d’entraînement. C’est un groupe dense dans lequel j’ai pu retrouver Laurine, une amie et partenaire d’entraînement. On partage l’intégralité de nos séances et c’est juste génial !! On se tire vers le haut l’une et l’autre ! Mais il faut aussi parler de l’ensemble du groupe, qui est super sympa et n’hésite pas non plus à s’entraider sur les séances. Merci à eux d’ailleurs !

Pourtant, tout n’a pas été simple. Après une saison hivernale compliquée, tu as fait une rentrée estivale explosive. Comment as-tu vécu ce retour en force ?

La saison estivale fut une belle revanche, c’est vrai. J’ai fait mon entrée sur piste aux interclubs, dans une super ambiance, avec un record personnel à la clé. Je savais que mon record de 4’34 de la saison précédente était améliorable, mais je n’imaginais pas faire une rentrée en 4’29, soit cinq secondes de moins ! Après ce premier tour, je savais que je pouvais aller chercher mieux, et cela s’est confirmé de compétition en compétition avec des records à chaque fois.

Tu parles beaucoup du groupe, mais tu sembles avoir une relation particulièrement forte avec ton entraîneur, Didier., que tu surnommes affectueusement « Papy Didier »…

Cette progression, je la dois au groupe d’entraînement, mais avant tout à Didier. On entretient un beau lien et il m’a transmis une méthode d’entraînement qui me correspond ! Je suis super contente de voir que ça porte ses fruits. On ne le souligne pas assez, mais le travail d’un coach est très prenant. Papy Didier le fait depuis plus de 30 ans et c’est chapeau bas.

Cette progression t’amène de nouveau aux championnats de France Espoirs. Mais cette fois, le contexte est très différent. Tu arrives avec un statut de prétendante au podium. Comment as-tu géré cette nouvelle pression ?

Là, le scénario n’était pas le même, c’est sûr. J’avais une pression plus importante car j’étais la 4ème des engagées, à quelques centièmes du podium sur le papier. Heureusement, le déplacement avec la bonne humeur du L2A53 aide beaucoup. En série, l’objectif était de se qualifier sans trop laisser de plumes, ce que j’ai fait en prenant la 3ème place. Le jour de la finale, l’attente a été longue, mais Emy., ma coiffeuse officielle, a été pro pour faire oublier le stress ! L’objectif était clair : aller chercher le podium.

Et ce podium, tu es allée le chercher ! Raconte-nous l’émotion de ce moment.

Sur la ligne d’arrivée, c’était une joie indescriptible avec cette médaille autour du cou. Les copains du L2a53, Didier., tout le monde était là, même via le live… Que d’émotions !! C’était ma dernière année espoir, je savais que c’était maintenant ou jamais. C’était une joie immense et un partage avec Papy Didier qui fut très riche en émotions.

La saison aurait pu s’arrêter sur ce sommet, mais une autre porte s’est ouverte : les championnats de France Élite. Une surprise de plus ?

Oui ! Je pouvais peut-être espérer être qualifiée, c’est pourquoi j’ai continué les entraînements. Et ce fut un bon pari car je suis finalement 12ème des engagés. Direction Talence ! L’objectif était de prendre de l’expérience auprès des meilleures nationales et, peut-être, d’aller chercher un ticket pour la finale. Didier. m’a dit la même chose qu’à mes premiers championnats : « Tu as déjà réalisé une très belle saison, tu n’as rien à perdre ».

Et encore une fois, tu déjoues les pronostics en te qualifiant pour la finale. Quelle expérience !

J’ai pris la 6ème et dernière place qualificative, c’était juste extra !! Les sensations n’étaient pas excellentes, mais la joie était là ! Une finale aux Élites, je n’y aurais jamais pensé et ce fut une expérience magique. C’est auprès des meilleures que l’on apprend beaucoup. J’ai adoré cette course, sans pression particulière, juste le plaisir et la reconnaissance immense d’être sur cette ligne de départ. Je termine 11ème et je suis très contente.

Un dernier mot pour conclure cette aventure de deux ans ?

Je tiens vraiment à remercier la famille du L2A53 qui a toujours été là, de près ou de loin, avec un soutien sans faille. Et un immense merci à Papy Didier, c’est à toi que je dois cette belle histoire !

De la surprise à la consécration. En deux saisons, Laurine est passée du statut d’athlète de plaisir à celui de médaillée nationale chez les espoirs et finaliste chez les Élites. Un parcours qui illustre parfaitement que le talent, lorsqu’il est combiné au travail, à un encadrement de qualité et à la force du collectif, peut déplacer des montagnes. Une histoire inspirante, et qui ne fait sans doute que commencer.

 

Article rédigé avec l’aide de Laurine  BEUCHER et Didier LELIEVRE-

Véronique PIEUX

La perf de fin d’été de COACH Fred MORIN sur l’ULTRA TRAIL de « L’ECHAPPEE BELLE » 25ème en 49h19’58 sur les 155km du parcours avec 11390 de D+ !!!

C’est encore un exploit assez INCROYABLE de notre COACH Fred MORIN spécialiste de TRAIL qui a sans doute réalisé l’une de ses plus belles courses fin Août sur la nouvelle édition de « l’Echapée Belle » disputée sur le secteur de BELLEDONE en Isère .

A l’issue d’une remontada au alentours de la 30ème heure de course due à une redirection , Fred a terminé en 49h19’58 avec ses 11390 m de dénivelé positif !!!! CHAPEAU FRED et félicitations de la part de tous les athlètes et dirigeants du CLUB …

Commentaires de Fred sur son périple :

« L’Echapée Belle c’est un ultra trail totalement à part : la traversée complète de la chaine de Belledonne entre l’Grenoble (Isère) et Aiguebelle (Savoie). La particularité de ce massif et d’être très raide, très sauvage et très minéral. La course, longue de 155 km pour 11400 m de dénivelé, emprunte des sentiers souvent peu marqués voire totalement absents. La principale conséquence de la difficulté de ce tracé est l’allongement des temps de courses : le record de l’épreuve est de 24h contre moins de 20h à l’UTMB (pourtant long de 20 km supplémentaires).
Depuis 2019, j’ai participé à tous les formats proposés par cette organisation. Cette année, je me présentais pour la troisième fois au départ de la course intégrale après deux échecs en 2019 (manque de préparation / arrêt par le médecin de course) et 2022 (entorse puis chute au col de l’Aigleton).
Cette année, mon ami Arnaud Duval de Saint Jean sur Mayenne souhaitait relever ce défi pour ses 50 ans. Il m’a demandé de faire équipe avec lui. Nous avons eu un immense privilège : celui d’être assistés par nos épouses qui ont sans aucun doute permis la réussite de cette aventure.
Nous voilà donc vendredi 22 aout à 6h dans le parc du Château de Vizille pour le début de ce périple qui prendra fin presque 50 heures plus tard.
Partis dans la troisième et dernière vague, nous avons abordé très prudemment la première partie de course : une (très, très) longue montée de (31 km /3200 m de dénivelé) qui nous conduit à la Croix de Belledonne, point culminant de la course. La météo n’est pas propice aux photos (brume) mais parfaite pour cet effort qui nous amène rapidement dans une zone dépourvue d’arbres et donc éprouvante quand le soleil tape !
Les premiers ravitaillements s’enchaînent tranquillement jusqu’au coucher du soleil. Au col de l’Aigleton nous nous arrêtons pour passer en mode nocturne. Au redémarrage je me rends vite compte que les aliments que je viens d’absorber dans le froid ne passent pas du tout ! C’est la grosse panne de carburant au pire moment : au pied du terrible col de la Vache. Pas de chemin tracé, un fatras de blocs de pierre de toutes tailles et une pente qui n’en fini pas de se redresser. Heureusement Arnaud est là !
La descente sur la première base de vie (km 65) est difficile. Je décide de mettre la priorité au repos plutôt qu’au repas chaud. Nous repartons avec moins de 45 minutes d’avance sur la barrière horaire. Heureusement, au petit matin la forme revient car Arnaud peine en montée et a du mal à tenir un rythme régulier. A mon tour de l’aider à passer ce cap difficile …
Arrivés au Gleyzin (km 85) nous ne sommes pas très frais. Et un monstre nous attend : le col du Morétan, dont la descente équipée de cordes est encore plus technique et physique que la montée. A ce stade l’organisation propose deux options : tenter le col au risque d’y perdre un temps infini et d’être déclarés « hors course » ou prendre un autre circuit (un « shunt ») avec distances et dénivelé pratiquement équivalents mais moins technique. Notre choix a été vite fait : on prend le shunt pour garder une chance de rallier l’arrivée. D’autant plus qu’Arnaud comme moi avons eu l’occasion de franchir ce fameux col du Morétan lors d’éditions précédentes. Cette option donnera lieu à deux classements distincts à l’arrivée : d’où la flatteuse 25ème place qui a enflammée Pascal ( 😊) . Il ne s’agit pas du scratch mais seulement du parcours « bis »…

Cette option nous permet de reprendre une petite marge sur la barrière horaire. Nous rallions la deuxième base de vie en milieu de journée samedi. On s’autorise même une sieste de 30 minutes !
La fin de course se passe plutôt bien malgré une deuxième nuit dans la montagne. Sur la fin de course le manque de sommeil devient difficile à gérer : on tente de fermer un œil sur les deux mais ça ne fonctionne pas… donc on procède à quelques arrêts sauvages (quelques secondes sur un rocher ou contre un arbre).
Nous sonnons la cloche de l’arrivée à Aiguebelle à 7h30 le dimanche matin et nous sommes accueillis par nos épouses et nos trois stadistes (Lucie, Juli
en et Guillaume) brillants finishers du parcours des crêtes peu de temps avant nous. Merci à toutes et à tous !
Au final : Un sommeil totalement déréglé pendant une semaine.
C’était bien mais maintenant que c’est fait …49h20 de course pour 155km et 11300m de dénivelé.
Pas une ampoule, pas une blessure et … quelques courbatures !

Open de France à Thonon-les-Bains : une belle médaille de Bronze pour Noé Routhiau (3ème en 14’33 »21)

Open de France à Thonon-les-Bains : une belle médaille de Bronze pour Noé Routhiau (5000m en 14'33''21)

Ce week-end, deux de nos athlètes étaient en lice lors de l’Open de France à Thonon-les-Bains.
Hier soir à 20h25, Noé Routhiau a pris le départ du 5000m, tandis que Gwendal Poussereau s’élancera aujourd’hui à 17h sur le 3000m steeple.

Sur une course très tactique, Noé a su tirer son épingle du jeu. Resté en retrait jusqu’au 3000m pour préserver ses forces, il a su répondre présent lorsque le rythme s’est accéléré. Noé décroche une très belle 3e place, synonyme de médaille de bronze !

🎙️ Voici son retour à chaud :

« Course très tactique jusqu’au 3000m, je suis resté caché pour pas trop me fatiguer avant que la course s’accélère. Je suis content d’avoir fait 3ème ! »
Noé R

Toute l’équipe dirigeante félicite chaleureusement Noé pour cette performance, ainsi que son coach Didier. Cette médaille vient s’ajouter à celle obtenue la semaine dernière par sa petite amie Laurine Beucher — médaille de bronze sur 1500m aux Championnats de France jeunes à St Etienne — illustrant le formidable travail réalisé au sein de leur groupe d’entraînement. 

Nous souhaitons également le meilleur à Gwendal pour sa course aujourd’hui à 17h !

Laurine BEUCHER sélectionnée pour les Championnats de FRANCE ELITE à TALENCE à partir du 1er Août !

Pour magnifier encore plus sa saison déjà admirable , l’espoir Laurine BEUCHER aura l’immense satisfaction de pouvoir disputer le Championnat de France ELITE à TALENCE sur 1500m avec le 14ème temps des engagées. Les séries disputées le vendredi 1er Août à 18h50 peuvent même lui laisser entrevoir pourquoi pas les portes de la FINALE qui se disputera le samedi 2 Août …

BRAVO Laurine …

Laval Agglo Athlé 53 - 2023

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